JS Bach - Partitas 1, 2 et 3 et transcriptions - label air note
Resmusica - 14 décembre 2011
"A travers ce programme construit de manière très réfléchie, on retrouve cette sonorité ronde, feutrée, cette poésie, délicatesse dans le toucher, mais aussi cette franchise dans les mouvements enlevés, qu’on avait pu apprécier dans son précédent album consacré à Haendel".
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Le Quotidien du Médecin - 12 décembre 2011
"Racha Arodaky nous donne, après un magistral CD consacré à Haendel, les trois Partitas de J. S. Bach interprétées (surtout la troisième) avec une liberté de ton et une sonorité magnifique".
Musikzen - 7 décembre 2011
"Le Bach, si attendu par ses fans (Racha Arodaky est une adepte du Net, des réseaux sociaux, et a créé son propre label) confirme les promesses de cette virtuose des doigts et des sens. Un délié aérien, jamais précieux, avec un couplage élégant – que l’on retrouve aussi chez Perahia - des legatos de la main droite et des portés de la gauche, un son à la fois vif et rond, et ce talent rare de régler les tempos tant par le rythme que par l’allongement des sons – ou des silences".
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La Marseillaise - 27 novembre 2011
"Le jeu libre d’Arodaky, sensuel, noble, tantôt aérien ou enfiévré, hypnotise".
Piano Bleu - 25 novembre 2011
"Aussi ne faut-il donc pas toujours se fier aux diverses titres des mouvements mais sans doute plus particulièrement pour ce qui concerne ce disque à l'illustration de la pochette : un oeil d'une couleur rose que l'on peut imaginer en fait comme un regard en profondeur de Racha Arodaky sur ces partitions et qui suit avec sa propre sensibilité les pas de son remarquable maître Murray Perahia [...
...]Elle s'en distingue particulièrement par un sonorité plus intérieure, notamment dans les mouvements lents, qui leur donne un caractère très humain et va encore droit au coeur."
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Blog Le Poisson Rêveur- 24 novembre 2011
"Tout d'abord on est frappé par la clarté extraordinaire du contrepoint, qu'elle avait déjà parfaitement révélée sur les suites de GF Haendel. Ensuite, on notera la respiration, l'élan permanent, l'exaltation du caractère circulaire de cette musique. C'est encore plus probant sur JS Bach que sur GF Haendel justement. Le lyrisme de la pianiste apporte des couleurs, une vie, une extraordinaire proximité à ces partitas qui nous parlent enfin, nous révèlent un JS Bach incroyablement humain".
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Le Blog de Frédérique - Site de la FNAC - 21 novembre 2011
"Je connais Racha Arodaky depuis la parution de son deuxième CD consacré à des sonates de Scriabine. Ce compositeur a la réputation d'être difficile d'accès et sa musique était pour moi confuse et hermétique jusqu'à ce qu'elle me parle au travers de l'interprétation de Racha qui a su lui donner clarté et humanité. Cette pianiste française d'origine syrienne a d'abord travaillé avec Dominique Merlet au CNSM de Paris avant d'aller étudier avec Yevgeni Malinine au Conservatoire Tchaikovski de Moscou et de devenir ensuite une des rares élèves du grand Murray Perahia. Ses illustres maîtres, son travail, mais surtout son caractère très exigeant et sa grande générosité on fait d'elle une des pianistes les plus douées et fascinantes de sa génération. Ses quelques enregistrements ne laissent personne indifférent et ont tous eu un très bon écho chez les critiques. En magasin, les clients qui découvrent un de ses albums viennent en général acheter tous les autres. Racha Arodaky cherche par dessus tout à faire parler le compositeur, à révéler la part d'humanité qui se cache derrière les exigences techniques et stylistiques de la partition. Elle je dois reconnaître qu'elle y arrive à la perfection".
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Péché de classique N°111 - 15 novembre 2011
"A chaque phrase, on peut redécouvrir des pièces tant de fois usées avant d’être comprises, car Racha Arodaky s’en est emparée avec le cœur et l’esprit. Je ne peux prendre d’exemple précis puisque tout l’album est de cet acabit. On ne peut ré- sumer une pareille réussite qu’en dévoilant ases sens la magie et l’envoutement oriental de toutes ces arabesques en forme d’allemande, de gigue ou de sarabandes. Comme un collier de perles, chacune est unique et aussi pré- cieuse que l’ensemble. Tel ce Suscepit Israël, extrait du Magnificat et transcrit par l’artiste elle-même, qui clôt le disque avec douceur et émotion".
GF Haendel - suites pour clavier - label air note
Le Monde - Renaud Machart - 2 novembre 2009
"[...] Au concert, on retrouve ce même beau son, plein et rond, ancré au fond du clavier. Il rappelle la jolie formule de Roland Barthes à propos du moelleux du toucher qui, selon lui, réside dans le "coussinet" du doigt.[...] Arodaky a le don essentiel de savoir capter l'auditeur, une vertu moins partagée qu'on ne croit. [...]".
Classica - Arnaud Drillon - Décembre 2009
"On connaît la personnalité de la pianiste française dont les interprétations de Félix Mendelssohn, Alexandre Scriabine et Domenico Scarlatti ont soulevé un certain enthousiasme. Son Haendel ne déroge pas à la règle tant il regorge de vie, de chaleur et de caractère. Son piano, tantôt recueilli, tantôt virevoltant, rend un vibrant hommage au compositeur allemand".
Diapason - Ivan A. Alexandre - Février 2010
"[...] Le sensible prend donc le risque du sentimental - risque calculé, sans complaisance ni rouerie. Mais la manière, ferme et souple, s’éloigne rarement du modèle : Murray Perahia, maître vénéré dont l’album Handel - Scarlatti marquera sans doute longtemps la jeune disciple - legato de main droite sur portato de main gauche, signature connue. Ne pas confondre toutefois influence et dépendance. Pianiste autonome, Racha Arodaky assume pleinement ses crescendos «d’orchestre» dans les fugues, son panache ostentatoire dans le finale de la Suite en fa mineur, son pianisme orgueilleux dans celui de la Sol mineur [...] "
Muse Baroque - Katarina Privolva - 2 novembre 2009
"Racha Arodaky a soigné l'enchaînement des pièces et des tonalités, conférant une indéniable cohérence à ce parcours tendre et nostalgique. L'Air et variations de la Suite n°5 suffit à démontrer les infinies nuances et retards que la pianiste insuffle à cette mélodie, tantôt majestueuse et fière, tantôt hésitante et frêle, plus ou moins détachée. Et il y a ce liant songeur, un peu distant, comme perdu dans ses pensées, qui perce souvent comme dans l'Allemande de la Suite n°3 proposée en guise d'intermède."
Blog le Poisson Rêveur - Philippe Delaide - 21 novembre 2009
" [...] A l'écoute complète du disque, sorti depuis maintenant environ un mois, je confirme à quel point cet enregistrement est une belle réussite. Comme pour le JS Bach de Murray Perahia, à l'issue d'une audition de ce disque de Racha Arodaky, on ressent une impression de sérénité et de plénitude rares. Ce disque fait indéniablement partie de mes coups de cœur 2009".
Concertclassic.com – Alain Cochard - 16 novembre 2009
"[...] La parution d’un bel album Haendel a été le prétexte d’une soirée marquée du sceau d’une lumineuse poésie. […] c’est d’abord à la rayonnante présence de la disciple de Dominique Merlet et Murray Perahia que l’on doit d’être captivé dès l’attaque de l’Allemande de la 5ème Suite HWV 438 de Haendel. Sonorité chaude, ambrée, charnue mais sans lourdeur aucune, charme : l’artiste nous embarque dans un programme conçu d’un seul tenant où Haendel, Rameau et Scarlatti dialoguent intelligemment. [...]".
Concertonet.com – Simon Corley - 16 novembre 2009
"[...] Racha Arodaky, [...] fait fi de l’apparat et des alanguissements dont les grands anciens entouraient ces pages: les rythmes pointés s’imposent avec fermeté et les gigues avec mordant, mais elle ne surarticule pas pour autant comme certains se croient obligés de le faire. C’est qu’elle ne renonce nullement au confort sonore du piano moderne, avec un toucher déployant des trésors de subtilité, une pédale bien dosée et un legato de velours, tirant du Steinway des sonorités étonnamment fondues, presque cotonneuses".
Domenico Scarlatti - sonates - label zig zag territoires
Le Point - André Tubeuf - mars 2006
"Racha Arodaky, racée, nerveuse, sombre de traits, svelte de ligne, avec dans l'œil et la silhouette quelque chose qui semble prêt à la détente, à mordre peut-être. C'est avec cette hardiesse qu'on fait les vrais battants, et la toute belle Racha Arodaky n'a pas froid aux yeux : l'un de ses premiers disques, c'était Scriabine, le diable en personne. Aujourd'hui Scarlatti. La personnalité, le chien, un œil noir qui vous regarde depuis le noir et blanc du piano, c'est ça qui est rare ! "
Diapason – Mai 2006
"La présence poétique, la chaleur du propos séduisent tout au long d'un enregistrement où l'on ne peut qu'être frappé par la plénitude du chant, la subtilité des nuances…"
Les critiques du magazine Epok – Mai 2006
"Palette de couleurs généreuse, précision admirable, tempérament ardent, doigts véloces… Après un superbe disque consacré à Scriabine, voici la preuve d'un talent exceptionnel."
Jacques Bonnaure – Avril 2006
"Racha Arodaky qui s'impose aujourd'hui comme une pianiste de premier plan, aborde Scarlatti avec de solides moyens techniques mais également un vrai projet quant à l'interprétation. Une expressivité bouleversante et retenue à la fois, de la fougue, un sens du rythme, une imagination toujours renouvelée…"
Blog le Poisson Rêveur - Philippe Delaide - 19 septembre 2006
"Avec un jeu gracile, et une grande finesse de toucher, Racha Arodaky donne à ces sonates de splendides couleurs et instaure un climat intime très convaincant. Son piano révèle un son ample qui sert parfaitement la richesse harmonique de ces sonates."
BBC Music – Nicholas Anderson – Octobre 2006
"…This is Scarlatti playing which makes considerable appeal. No exaggerated gestures, no histrionices and no blurring of textures which, throughout, Arodaky preserves with praiseworthy clarity... "
CultureFrance – Jean Roy – Juin 2006
"She has super technique accompanied by personal vision, which in this case lets us know a more secret, sometimes melancoly, and still marvelously inventive Scarlatti. She makes no haste, has no vain virtuosity, but an approach that makes us understand that Scarlatti, out of time, speaks a language that surpasses his area."
Alexandre Scriabine - préludes - label zig zag territoires
Classica / Répertoire - février 2004
"La musique de Scriabine s'avère très exigeante et permet donc aux interprètes de manifester leur sensibilité, leur maîtrise de la virtuosité comme des nuances délicates et surtout leur intelligence musicale – tout ce que Racha Arodaky accomplit ici magnifiquement. On goûte une parfaite adéquation entre la musique et les moyens de l'interprète, d'autant que sa sensibilité frémissante s'exerce avec une absolue intégrité. Ce disque va donc combler tous les audiophiles et les amateurs de beau piano !"
Le Figaro - Jacques Doucelin – janvier 2004
"Entre Tchaïkovski et Rachmaninov, Scriabine joue les prolongateurs de Chopin, notamment dans ses Préludes dont Racha Arodaky nous propose un bouquet. Elle cerne joliment le versant féminin de l'âme de Scriabine."
L'Express - Bertrand Dermoncourt - décembre 2003
"Qui peut le plus peut le moins. Cette simple maxime avait sans doute guidé Chopin dans l'élaboration de ses courts préludes. A sa suite le compositeur russe Alexandre Scriabine aura lui aussi le génie de cette forme lapidaire, où l'essentiel est dit en quelques notes bien choisies. La jeune pianiste Racha Arodaky vient d'enregistrer une sélection idéale des Préludes de Scriabine. L'allusif, l'instantané, le « presque rien » deviennent conversation intime : l'interprète parle à son instrument qui, à son tour, s'exprime en douceur."
Anaclase.com - décembre 2003
"Racha Arodaky fait sonner comme personne les opus de jeunesse du compositeur russe, sans jamais céder à un trop facile brio. Sa lecture ressemble à son piano : loin d'un spectaculaire éclatement d'un bordeaux qui, après l'épate, ne fait que ressembler à celui que l'on cultive sur la parcelle d'à côté, à des kilomètres à la ronde, elle est raffinée et secrète comme un vieux bourgogne qui entretient la découverte et l'élévation sans se livrer."
Classica - Stéphane Friederich - décembre 2003
"Dans son disque Scriabine, Racha Arodaky témoigne d'un tempérament créatif, inventant ses propres couleurs, traduisant ce Scriabine en dehors d'une école spécifique. On écoute ainsi de bout en bout la fausse indolence de ce récital, une diction parfaite dans les plus infimes pianissimi. Assurément une artiste qui rejoint les grands interprètes de ce répertoire."
Le Monde de la Musique - Jacques Amblard - décembre 2003
"L'interprétation peut s'engager dans une intensité maximale et y rester sans devoir doser ni préparer ses effets. Racha Arodaky en profite pour nous éblouir de quelques traits virtuoses sans avoir à penser à la forme : un fantasme d'interprète. Dans les tempos lents on retrouve ce très rare romantisme mystique que Schumann atteignait seul auparavant, chaque note tintinnabulant comme une goutte de tendresse compassionnelle."
Felix Mendelssohn - Pièces pour piano (romances, caprice opus 33 N°1, rondo capriccioso opus 14) - label bnl : syrius
La Provence - Georges Galissian - décembre 2001
"Racha Arodaky a un jeu des plus complets : phrasé, touché, gammes de nuances et des couleurs, autorité, une lisibilité parfaite, Une virtuosité aussi puissante que flexible… Délicatesse et précision du trait, sensibilité, poésie et passion, exceptionnelle maîtrise et intelligence musicale liée à l'expression en éveil constant."
Classica - Karol Beffa - septembre 2000
"Racha Arodaky allie dans son disque Mendelssohn une vraie simplicité de ton, donnant à cette musique une clarté perlée et une articulation tout à fait bienvenue. Elle arrive à donner dans les pages brillantes une gaieté et une vivacité peu communes."
Piano le magazine - Orianne Nouailhac - juillet/août 2000
"Parce que ses interprétations sont bouleversantes de sincérité, de puissance toute en nuances et parce que sa personnalité musicale et profondément humaine se ressent jusque dans les tréfonds des œuvres, cette pianiste mérite la reconnaissance des spécialistes et l'amour du public."
Monde de la Musique (Choc du Monde de la Musique) - Jean Roy -, mai 2000
"Racha Arodaky dispose d'un jeu aux sonorités profondes, généreuses et doté d'une riche palette de nuances. Son enregistrement Mendelssohn : d'où jaillit un élan romantique comme capté à l'état pur, confirme son talent où se conjuguent à parts égales, virtuosité, intelligence et sensibilité."
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